Le traitement médicamenteux des troubles de la fertilité est très variable. La prise en charge de la stérilité dépend de la cause et du degré de sévérité. Le choix du traitement doit être soigneusement pesé. Les traitements médicamenteux permettent souvent de résoudre les problèmes de fertilité chez l’homme. Les médicaments utilisés sont : les vasodilatateurs et les antidiabétiques, les agonistes de la gonadolibérine (GnRH) et les antagonistes de la LH-RH. Les vasodilatateurs et les antidiabétiques sont utilisés pour traiter les problèmes de diabète. Les antidiabétiques sont les médicaments les plus couramment utilisés pour traiter les problèmes de fertilité. Parmi eux, on peut citer la metformine, l’insuline et les sulfamides hypoglycémiants. Les agonistes de la GnRH sont utilisés pour traiter les problèmes de stérilité. Il s’agit entre autres de l’hormone lutéinisante (LH), de l’hormone folliculostimulante (FSH), de l’hormone de libération des gonadotrophines (GnRH) et de l’hormone anti-Mullerian (LH-MGM). Les antagonistes de la LH-RH sont utilisés pour traiter les troubles de l’ovulation, les troubles du cycle menstruel et la diminution de la quantité de sperme. Il s’agit des médicaments tels que le clomifène et le letrozole.
Les antidiabétiques sont des médicaments utilisés pour traiter le diabète de type 2. Ces médicaments sont administrés par voie orale et consistent en une association de deux types de médicaments : les inhibiteurs de la glycoprotéine P (glucagon-like peptide 1) et les inhibiteurs de la glucosidase-transférase (GT). Les inhibiteurs de la glycoprotéine P sont des médicaments utilisés pour traiter le diabète de type 2. Ils agissent en diminuant la capacité de l’organisme à produire de l’insuline et en augmentant la production de glucose. Les inhibiteurs de la glucosidase-transférase sont des médicaments utilisés pour traiter le diabète de type 2. Ils agissent en diminuant la production de glucose par l’organisme. Les vasodilatateurs sont des médicaments utilisés pour traiter les troubles de la circulation veineuse et artérielle. Ils peuvent être administrés par voie orale ou sous forme d’injections dans le muscle. Ils agissent en dilatant les vaisseaux sanguins. Ils peuvent être utilisés pour traiter les troubles de la fertilité.
Les vasodilatateurs sont des médicaments utilisés pour traiter les troubles de la circulation sanguine. Les vasodilatateurs sont des médicaments qui augmentent le flux sanguin.
La fécondation in vitro (FIV) est une technique de procréation médicalement assistée qui permet de stimuler l’ovulation chez des femmes qui n’ovulent plus naturellement ou qui n’ont pas eu de grossesse. En fonction du nombre de follicules présents dans le cycle, il est possible de déclencher l’ovulation au moyen de différentes hormones, comme la gonadotrophine chorionique humaine (hCG), qui déclenche l’ovulation en libérant des hormones dans le sang. Cette technique permet d’augmenter les chances de concevoir, puisque le nombre d’ovocytes (ovules) produits augmente. La stimulation ovarienne est effectuée en plusieurs étapes au moyen de médicaments injectés par voie intraveineuse. Les ovaires sont stimulés par le gonadotrophine chorionique humaine et l’embryon se développe dans les follicules en augmentant sa taille et sa production d’hormones. Les follicules sont ensuite éliminés et les ovules sont transférés à la cavité utérine de la femme. Après l’implantation de l’embryon, le cycle recommence, en fonction de la réponse de l’organisme à l’hCG. Si l’hCG ne permet pas une grossesse, la fécondation in vitro peut être réalisée avec l’aide de la GnRH (gonadotrophine de récepteur de la prolactine).
La FIV est indiquée pour :
• Une femme en âge de procréer qui ne peut pas tomber enceinte naturellement (environ 3 à 6 mois de retard de la période d’ovulation).
• Une femme qui n’ovule plus normalement et qui n’a pas subi d’intervention chirurgicale pour tenter de tomber enceinte.
• Une femme qui a eu une ou plusieurs grossesses non désirées ou qui ne répond pas au traitement médical par GnRH.
• Une femme qui souhaite concevoir un enfant malgré une ménopause prématurée ou en raison de ses problèmes hormonaux.
La FIV peut être utilisée pour les cas suivants :
La FIV se déroule en plusieurs étapes.
Le nombre de follicules maturés et leur taille sont les principaux facteurs qui affectent la réussite de la FIV. Parfois, la réponse aux médicaments pour stimuler l’ovulation et à l’hormone lutéinisante n’est pas satisfaisante et la patiente doit recevoir d’autres traitements avant d’obtenir une grossesse.
Cependant, si la réponse est satisfaisante, il est possible d’organiser la FIV en plusieurs étapes :
La FIV permet d’obtenir des résultats optimaux avec un taux de succès très élevé :
La FIV est une technique qui présente des avantages et des inconvénients importants :
La FIV implique le transfert d’embryons dans la cavité utérine de la femme.
Après la stimulation hormonale, une échographie est réalisée pour vérifier la réponse de l’organisme à l’hormone lutéinisante (LH).
Il est nécessaire d’obtenir l’autorisation du patient et de procéder à un examen médical approfondi afin d’évaluer sa santé générale et de connaître sa réponse à l’hormone lutéinisante (LH). Une fois que la réponse est positive, le patient est invité à effectuer une visite à la clinique de fertilité afin de préparer le transfert des embryons dans l’utérus de la femme. Une fois que les embryons sont transférés, ils seront décongelés et placés dans la cavité utérine de la femme.
Après le transfert des embryons, le patient sera invité à procéder à une échographie afin de vérifier la maturation folliculaire, c’est-à-dire de vérifier si l’ovule est bien mature. Si la maturation folliculaire est complète, la FIV peut être programmée en deux étapes.
La patiente doit être soumise à une évaluation médicale et des tests sanguins pour vérifier si elle peut concevoir un enfant. La présence ou l’absence de certaines maladies et la réponse des tests peuvent être des indices importants pour déterminer si la FIV peut être réalisée.